Créez votre blook d’été avec BlookUp

L’été, est une saison pleine de nouvelles expériences et de bons souvenirs. C’est le meilleur moment pour enrichir le contenu de vos réseaux sociaux et de votre blog !

BlookUp vous propose d’imprimer le livre de vos vacances qui vous permettra enfin de garder une trace écrite de vos voyages, retraçant jour par jour vos aventures et de les ranger directement dans votre bibliothèque pour les ressortir à toute occasion.

5 façons d’utiliser BlookUp pour imprimer son blog

5 idées de blooksAvec BlookUp.com, imprimer ses contenus numériques sous forme physique n’aura jamais été aussi rapide ni aussi simple !

Aujourd’hui, nous vous présentons cinq idées d’utilisation de BlookUp.com et de sa plateforme d’impression de blog. L’occasion pour nous aussi de vous présenter quelques-uns des blooks édités et imprimés sur le site…

1) Le Carnet de voyage

Comme nous vous le racontions la semaine dernière, créer un blog est un bon moyen, lorsque l’on est à l’étranger de partager avec ses proches photos et nouvelles du lieu.

Grâce à BlookUp, le blog créé pour votre voyage se transforme en un superbe livre à ranger ou à offrir autour de soi.

Quelques exemples :

2) Les premières années de l’enfant

Créer un blog dans l’optique de l’éditer un jour sous forme de livre grâce à BlookUp.com est aussi une option. Ce choix présente l’avantage de pouvoir créer des livres pensés en tant que tel. Comme par exemple la naissance d’un enfant l’histoire de ses premières années.

Ce qu’on réalisé ces deux ‘BlookUp créateurs’ en comptant, parfois directement à destination de l’enfant, les premières fois…

3) Une photo par jour

BlookUp.com, c’est aussi la possibilité pour certains d’entre vous de pouvoir éditer des livres reprenant les contenus du blog sur une période donnée. Il est ainsi donc possible de créer un livre reprenant vos contenus de l’année précédente ou pourquoi pas des 3 derniers mois.

C’est le choix fait ici avec ce magnifique livre retraçant chaque jour la vie de la Place de la Bourse à Bordeaux : « Same Place, Everyday« .

4) Le recueil de recettes

Le format proposé par BlookUp.com est aussi idéal pour tous les amoureux de cuisine et de numérique souhaitant retrouver les recettes de leur blog au format papier pour pourquoi pas l’offrir à un ami en manque d’inspiration culinaire !

5) Le roman ou le recueil de poèmes

Avec son format roman, BlookUp.com permet aux auteurs utilisant leur blog pour partager leurs écrits et se faire connaître d’éditer librement et de mettre à la disposition de leurs lecteurs les versions papiers de leurs créations…

Beaucoup de façons donc d’utiliser BlookUp.com !

Créez le livre de vos vacances avec BlookUp !

Publiez le livre de vos vacancesBeaucoup d’entre vous profitent de l’été pour partir à la découverte de nouveaux horizons et reviennent chez eux plein de souvenirs, photos et idées. Avec sa plateforme, BlookUp.com vous propose d’imprimer le livre de vos vacances directement depuis votre blog ! Qu’il soit créé pour raconter vos vacances à vos proches ou tenu tout au long de l’année, votre blog se transforme en quelques clics en un superbe livre à ranger dans votre bibliothèque ou à offrir.

Adoptant actuellement un format roman (d’autres formats sont à venir pour septembre), le blook (contraction du blog et du book, livre en anglais) se transforme ainsi en un carnet de voyage, retraçant jour par jour vos aventures et illustrent celles-ci grâce aux photos prises pendant votre voyage et postées sur votre blog.

Véritable livre, le blook proposé par BlookUp.com vous permettra enfin de garder une trace écrite de vos voyages et vacances et de les ranger directement dans votre bibliothèque pour les ressortir à toute occasion.

LES VACANCES DU DEVOIR

Trois mois. Avant. Les « grandes » vacances duraient presque trois mois, avant. Est-ce à cause de cette longue trêve ? Pour qu’on n’efface pas de nos mémoires le rythme de l’année scolaire ? Mais cette parenthèse attendue emmenait presque toujours avec elle, soigneusement rangé entre les draps de bains, les maillots et la crème solaire, un compagnon dont nous espérions, chaque fois, qu’il aurait été oublié à la maison.
Le cahier de devoirs de vacances.

Toujours d’actualité, il n’est pas réservé aux cancres. Non. Même les meilleurs y ont droit. Les premiers pour tenter de combler les lacunes qui ont longtemps été une menace de redoublement. Les autres, pour conserver le niveau d’excellence qui en fait, généralement, les cibles favorites des premiers.
Comme si on pouvait tout apprendre ou tout oublier en trois mois.
Parfois les jours de pluie, sinon le matin avant toute autre occupation, on le sait, les devoirs de vacances servent de passe-temps à nos chères têtes blondes.
Trop longs pour certains. Trop courts pour quelques uns (plus rares).
Et après, la délivrance. Les vraies vacances de la journée commencent.
Finalement, c’est comme la sonnerie du début de récré.
Le plaisir la suit. De près.

Au fil des années, les éditeurs s’emploient à les rendre plus attractifs, plus « sympas », plus ludiques. Mais comment réellement s’amuser avec ce qui est une obligation quotidienne tout au long de l’année ? Même avec de la couleur, des exercices en bandes dessinées, un devoir reste un devoir…
Et qui dit devoir, dit droit… Droit à l’information, droit de penser, de dire, de faire ce qui nous chante, droit à la liberté d’expression…
Une liberté d’expression qui a littéralement explosé, depuis le début du millénaire, avec les nouveaux moyens de communication, Internet en tête. Et que j’te maile, et que je te facebooke, et que je te twitte, et que je te blogue à tour de clavier…
Le pire et le meilleur s’y côtoient pour le plus grand plaisir des millions de novo-lecteurs qui ne voudraient surtout être en reste ! Puisqu’on leur donne à lire en quantité illimitée, gratuitement pour la plupart du temps, pourquoi ne pas en profiter ?
Dès le matin, se jeter sur son écran est devenu le geste prioritaire, primordial, indispensable.
Une obligation. Plus. Un devoir.
Qui précède, là aussi, le plaisir.
De savoir, d’être au courant, de connaître, de découvrir.

En sommes-nous seulement conscients, nous, blogueurs(ses) de l’ombre, du clair-obscur ou, plus rarement, de la lumière ?
Avons-nous capté, qu’à chaque touche de clavier stimulée par nos doigts répond, quelque part dans le monde, un regard impatient, intéressé, avide, curieux de notre prose ? Que nous induisons une dépendance, aussi infime soit-elle, avec nos lecteurs…
Dépendance ou inter-dépendance ? Finalement, sans cette attente, formulée ou non, qui nous dit, nous murmure, « encore, encore », aurions-nous l’envie, l’énergie, la motivation de nous y coller tous les jours ? Certains répondront oui, avançant que l’intérêt de ce dont ils traitent est largement suffisant à entretenir leur flamme d’écrivains génération 2.0… Mais derrière ces remparts d’une rationalité bien rassurante, le temps de l’éphémère n’est jamais bien loin…
Quelques secondes. Aujourd’hui. Quelques secondes suffisent.
Pour savoir si on a « rencontré son public ».
Établi le lien, créé le contact, installé l’addiction.

Quand je vois, depuis quelques semaines, certains blogs arborer un message du type « en vacances pendant 3 semaines, à très bientôt », j’en suis un peu interloqué…
Que va faire le lecteur (la lectrice, sorry, « la parité » !) privé brutalement de son texte journalier, de sa bonne tranche de blog dégusté avec le café du matin ?
Plus de twitt twitt twitt pour ouvrir les yeux se sachant destinataire d’un scoop unique !!!
Aujourd’hui, ce rituel est souvent le point de départ de notre, votre, leur quotidien, comme les devoirs de vacances rythmaient autrefois le démarrage de notre (votre, leur) journée de vacances.

Soumettre nos lecteurs à l’abstinence, c’est le risque, pour chaque blogueur(se) de se voir, avant même le retour de vacances, abandonné sur le bord de l’autoroute (de la communication) tel un animal familier remplacé par un autre…
N’oublions pas qu’aujourd’hui, les moyens dont chacun dispose lui permettent d’être connecté en permanence, sur la plage, à l’apéro, dans les calanques ou sur un bateau !!!
Et que « faute de geek on peut très bien accepter de manger des merdes » (dicton de l’été)…

La capacité d’écrire est un plaisir. Plus. Écrire est un pouvoir.
Être lu, plaire, se sentir attendu, désiré, c’est comme être sur le toit du monde… ou de l’abri de jardin du monde, soyons modeste…
Soyons reconnaissants de l’intérêt que nous portent nos lecteurs.
Et, malgré nos vacances, assumons ce peu de pouvoir que nous donne notre petit talent.
Continuons nos devoirs.
Pour leur plaisir.
C’est notre devoir.

Car, ainsi que le disait l’oncle d’un super héros (ce sont les vacances pour moi aussi, un peu, hein ?!) :
« De grands pouvoirs donnent de grandes responsabilités »…

Léo Myself

P.S : Comme ce sont les vacances -on l’aura compris, je crois- c’est la saison des jeux : qui peut me dire de quel super héros s’agit-il ?