Interview : L’Odieux Connard, « Qu’il est bon d’être mauvais »

Ca faisait un petit bout de temps que nous voulions poser quelques questions à l’un de nos blogueurs favoris : l’Odieux Connard. Chose faite il y a peu, nous profitons du récent anniversaire de son blog (le 26 juin dernier, soit hier, l’OC fêtait ses 3 ans) pour publier l’ITW. 
 
Pour suivre l’Odieux Connard et ses déboires c’est sur son blog.
 

  • Bonjour l’Odieux Connard. D’abord pourquoi ce pseudo assez « bourru » ? Un quelconque lien de parenté avec Super Connard ?

Aucun, du moins, pas que je sache.
Non, c’est un pseudonyme qui résume assez bien l’esprit du blog, et qui, ma foi, ne doit pas encore suffire, puisque j’ai toujours le droit à une poignée de malandrins qui vient se plaindre du fait que je critique tout. Comme quoi, même en l’écrivant en gros, en gras, en titre et en bannière, il semble que ça reste trop obscur pour certains.

  • Qui se cache derrière le blog d’un Odieux Connard? (Profession, sexe, hobbies, etc…)

Guère caché mais au clavier, il y a un type de 27 ans (actuellement du moins) et pas mal de cheveux blancs, chef d’entreprise d’une société éditant des solutions pour le secteur du tourisme et de la culture. Et puisque c’est assez prenant, on retiendra deux loisirs pour lesquels j’essaie d’avoir du temps et qui n’étonneront personne : aller au cinéma voir des films d’une qualité généralement contestable, et écrire quelque peu dans mon petit coin d’internet. J’ai heureusement d’autres activités, mais préservons un peu de mystère que diable !

  •  Qu’est-ce qui t’as incité à créer ton blog ?

Fut un temps où l’on me poussait à le faire, et où je traînais un peu les pieds, gardant mes humbles âneries pour d’autres lieux. Et puis finalement, sur un coup de tête, j’ai décidé de créer un blog, comme ça, pour voir. En conséquence de quoi, non seulement j’ai vu, mais je ne suis pas reparti.

  •  Que t’apportent tes lecteurs? C’est important pour toi d’avoir du monde qui te lit ?

Mes lecteurs m’apportent pas mal de bonnes surprises. J’ai la chance d’avoir un lectorat qui écrit plus que correctement, discute, débat… bref, je lis les commentaires avec plaisir, qu’ils soient le fruit d’habitués ou de passants, et il y en a de vraiment très drôles et/ou pertinents. Et si je ne réponds plus que peu dans cette zone mystérieuse en-dessous de mes articles, je continue de pas mal discuter avec des lecteurs par mail.
Avoir du monde qui lit… ce n’est pas une fin en soi : mais il faut bien avouer que ça fait plaisir, comme en tout. Après, il ne faut pas que ça devienne le but du blog, sinon, ce n’est plus un loisir, et ça dénature un peu tout.

  •  Un événement ou une actu qui t’as marqué ces 6 derniers mois ? 

Oui : comme en chaque début d’année, on a été gâtés en films de Nicolas Cage. Vivement l’année prochaine !

  • Qui est-ce que/Qu’est ce que tu aimes lire sur l’internet ?

Je suis très hypocrite : je lis peu sur internet ; si je choppais ces types qui trouvent malin d’écrire des pavés entiers sur leurs blogs… non, vraiment ; je suis pas mal de blogs BD par contre, et du côté des choses écrites, je fais par exemple partie des lecteurs de Maître Eolas, mais en général, je vais de-ci de-là en fonction des liens que je trouve… bref, je suis un internaute. Mais un peu ringard : je n’utilise quasiment pas Twitter, les fils RSS et n’aime rien ni personne sous Facebook.

Mais pour ce dernier point, c’est surtout parce que je n’aime rien ni personne de manière générale.

  • Et l’écriture en dehors du Web, ça t’évoque quoi ? Ça c’est déjà passé ou éventuellement ça fait parti de tes plans ?

Il n’y a pas eu d’écriture au sens classique du terme : j’ai eu l’occasion de publier des choses, mais sous forme de scénarios de bande-dessinée : je me suis ainsi retrouvé dans Fluide Glacial sous le charmant pseudonyme de « D’Ossay » (une bonne partie de mes lecteurs utilisant « OC » pour me qualifier, cela fait finalement un bon pseudonyme pour rôder au-dehors de mon coin du net, avec une petite particule noble devant pour bien conserver mon côté pédant) avec Laurel aux pinceaux. J’ai d’autres projets, y compris sous forme d’écrits plus « traditionnels », mais dans l’immédiat, rien de suffisamment concrétisé pour que nous en parlions ici.

  • Ne penses tu pas qu’avec la bannière “Sam” de ton blog à la place de toutes les futures campagne de préventions il y aurait bien moins de mort(e)s à déplorer sur les routes ?

Bien sûr que si ; mais allez savoir pourquoi, l’Etat Français semble réticent à l’humour noir.

  • Est ce que tu es un odieux connard IRL aussi ?

Mon pseudonyme ne vient pas de nulle part, je le crains : plus qu’un nom que j’ai pris, c’en est un qui m’a été donné. Je vous laisse supposer qu’il y a d’excellentes raisons à cela.

 

 

Un air d’Anonymous ? Nous on voit pas

 

Blookup souhaite un joyeux anniversaire au blog de l’OC et lui souhaite (oui car même si c’est un connard on peut quand même lui souhaiter de bonnes choses) d’en fêter encore de nombreux, et ce pour notre plus grand plaisir.

Thebiznet – juin 12 – Blookup – La solution pour imprimer votre blog

Blookup – La solution pour imprimer votre blog

J’ai hésité à rédiger cet article sur mon autre blog bouquins-de-com étant donné que le sujet colle parfaitement aux lignes éditoriales des deux blogs : un service innovant et l’univers des livres…

Lire la suite de l’article sur Thebiznet

Interview : Marion Derpinski-Laurent, auteure du blog La Bordesienne

Pour ceux qui ne connaissent pas encore Le blog de la Bordesienne, cliquez vite !

  • Qui es-tu Marion pour nos internautes qui ne te connaitraient pas encore ?

Je suis un pur produit Parisien installé à Bordeaux depuis quelques années, voilà ce qui me décrit le mieux.

  • Qu’est-ce qui t’as incité à créer ton blog ?

Mon égocentrisme démesuré ? (Rires)

Non, en vrai, au départ mon projet de  blog était une vitrine pour mes créations: une sorte de carte de visite, de book animé sur le web, une alternative à un e-shop… Puis à force de lire d’autres blog, j’ai eu envie d’écrire sur tout et rien, avec le ton qui me caractérise, et ensuite de partager mes nouveaux repères de Parisienne (un peu snob et bobo) à Bordeaux.

Une genre de City guide pour fashionista désemparée, habituée à l’offre Parisienne. J’ai eu envie de montrer que bordeaux est une ville très « à la mode » à tout point de vue.

  • Pourrais-tu me citer un événement ou une actu qui t’as marqué ces 6 derniers mois ?

Ma fille est propre, même la nuit. Ça c’est de l’évènement marquant, non ?

Sinon, pour rester dans un univers que je connais un peu… Hedi Slimane qui reprend la direction de la création et de l’image de la maison Yves Saint Laurent, c’est un événement qui anime ma curiosité et mon impatience. La Bordesienne est légère, compte pas sur moi pour parler de choses graves.

  • Que t’apportent tes lecteurs et quel est le meilleur commentaire que tu ais reçu ? 

Peu de lecteurs laissent de commentaires sur mon blog. Peut être n’ai je pas beaucoup de lecteurs finalement…

Les commentaires sont plus souvent laissés sur facebook, que directement sur La Bordesienne. Les commentaires de ma mère et de mon amie Marina sont toujours très drôles en tout cas!

Le fait de voir que tu as des visites  sur ton blog (parce que j’en ai quelque unes quand même) t’encourage à continuer à écrire et à essayer de partager des infos ou ton point de vue sur certaines choses.

  •  Des lieux que t’apprécient à Bordeaux ? 

Il y en a plein ! Le petit Commerce rue du Parlement Saint Pierre: un très bon resto de poissons simple et sympa.

La rue Notre Dame est très sympa aussi en terme de boutiques de mode, de déco, d’antiquaires et de resto… Il y à une ambiance très cool et en même temps « pointue ».

Pour les expositions, La Base Sous-marine est un endroit décalé, dépouillé que j’adore, le CAPC et sa terrasse ensuite, pour prendre un verre.

La Galerie Cortex Athletico en face du CAPC est un endroit à connaitre, tant pour les artistes qui y sont mis en avant, que pour  la passion et l’amour de l’art qui anime chacune des personnes qui oeuvre pour cette galerie.

Puis il y a la brocante à Saint-Mich* le dimanche matin, il y a toujours des trucs inutiles, donc indispensables à chiner.

*(Quartier Saint-Michel pour les non-Bordelais)

  • Bordeaux – Paris / Paris – Bordeaux … Allez autant d’un côté comme de l’autre tu dois bien avoir des choses à balancer sur le Parisien et le Bordelais ?

Les Parisiens sont snobs et prétentieux… Je rappelle que je suis parisienne et que j’assume très bien ces clichés,  je les revendique même!

Le Bordelais est plutôt froid, et pas très accueillant si tu ne fais pas partie de son cercle d’amitié.

Marion ou « La Bordesienne »

Retrouvez le Blook de La Bordesienne dans le Blookshop !

Interview : Clément Deltenre, auteur du blog JetSociety (contre la médiocrité ambiante et pour le retour au FUN)

  • Qui es-tu Clément pour nos internautes qui ne te connaitraient pas encore ?

Clément Deltenre, 36 ans, je blogue depuis 2004 et depuis 2006 sur Jetsociety.com. Autodidacte du web, je travaille dans le secteur bancaire dans le «civil». Je suis aujourd’hui l’auteur du blog de futilité publique connu dans la blogosphère.

  • Qu’est-ce qui t’as incité à créer ton blog ?

J’ai créé mon blog à une époque ou il fallait aller de liens en liens, de sites en sites pour consulter les sujets qui m’intéressaient. J’ai voulu tout compiler sur un seul site, créer un blog ou serait présent tout ce qui m’intéresse, du sexe à la mode en passant par les nouvelles technologies, tout ce qui représente le sel de ma vie.

Aujourd’hui Jet Society c’est un condensé des choses qui me plaisent. Je parle  uniquement de ce que j’aime pour éviter la médiocrité ambiante : cela représente une polémique inutile.

Les lecteurs du blog peuvent s’identifier lorsqu’il vienne consulter les articles. L’idée est de les faire voyager d’un sujet à un autre sans forcément qu’ils aient de liens. C’est comme en soirée j’ai envie de pouvoir écouter la musique que je veux, pouvoir passer de Métallica à de la musique classique s’il le faut.

La tendance n’est pas forcément la nouveauté, j’aime pouvoir jongler entre des sujets récents et d’autres plus anciens.

  • Quelles sont selon toi les clés de la réussite de ton blog ?

La clé c’est l’implication personnelle. J’écris ce que j’ai envie d’écrire comme j’ai envie de l’écrire, même un billet sponsorisé je le publie de la façon dont j’en ai envie.

Après c’est également une question de choix de sujets. J’évite de m’orienter dans un seul domaine ou de tomber dans l’overluxe. Parler d’une bague à 450 000 € ne me fait pas rêver car inaccessible….

  • Pourrais-tu me citer un événement ou une actu qui t’as marqué ces 6 derniers mois ?

Le décalage entre la pub TV et celle diffusée sur le net. Exemple récent avec la campagne de pub Tippex, drôle, interactive et pertinente. De l’autre coté lorsqu’on trouve des pubs TV comme Calgon qui font une démo produit soporifique de 30 secondes on constate un décalage énorme entre les deux médias. Et ce n’est pas qu’une question de cibles, car la ménagère, cible de Calgon est présente sur le Web et en maitrise les codes….

  • Que t’apportent tes lecteurs et quel est le meilleur commentaire que tu ais reçu ? 

Je ne prête pas d’importance au commentaire car généralement ils sont écrits à chaud et ont souvent mal interprété ce que j’écris. Un jour j’ai publié un billet sur la comédienne d’une émission télévisée («Sexy or not») que je trouvais pathétique. L’actrice en question est venue se plaindre alors que mon billet n’était absolument pas contre elle mais contre le principe de l’émission. Je ne veux absolument pas rentrer dans l’escalade et la polémique des commentaires. L’envergure que cela peut prendre me fait même peur.

Du point de vue des lecteurs, la vraie consécration c’est quand je rencontre quelqu’un qui me dit qu’il adore le blog Jet Society et qu’il ne sait pas que j’en suis l’auteur. C’est très flatteur.

  • Comment combiner des billets plus personnels (états d’âme, expérience vécue, etc..) à une charte éditoriale bien précise ?

J’écris des billets, plus personnels, au milieu des autres de temps à autre. Je n’attends pas de réactions, je veux juste que le lecteur le ressente.

  • Clément, une partie de tes billets tournent autour du cul (catégorie plaisirs coquins), c’est une obsession ou juste une frustration ?

(Rires) De la décomplexion plutôt. On a laissé croire à l’adulte que le sexe est un sujet libre alors qu’il reste encore beaucoup trop de barrières. Personne aujourd’hui n’ose dire qu’il est allé dans un sexshop ou qu’il a essayé telle position avec son ou sa partenaire. Ou lorsque ces sujets sont traités ils ne sont pas pris au sérieux, on en parle en rigolant. Finalement ce que je fais c’est juste de parler de sexualité assumée, mettre le sexe à l’honneur sans tabous.

Mais sinon j’avoue je suis un obsédé, comme tous les hommes non? D’après une étude, un homme pense au sexe en moyenne 10 fois par jour.

Clément – Autodidacte de l’écriture, passionné par l’avant-garde et le défrichage de nouvelles tendances.

L’ALPHA ET L’OMEGA

Il y a l’alpha. C’est le début. Et l’oméga. C’est la fin.
C’est pour expliquer aux non-hellenistes.
Ceux qui ne comprennent pas le grec. Ne le parlent pas non plus.
Mais ce n’est pas grave. La Grèce aujourd’hui c’est plutôt grève…
Donc l’alpha. Vous me direz : ça fait penser à alphabet… Oui, bon, on ne va pas commencer à compliquer, ça l’est suffisamment comme ça ! Et puis ne venez pas me flinguer mes effets !!!
Donc, exact, « alphabet » vient d’alpha et de bêta, les 2 premières lettres de l’alphabet grec (sic !)… Mais alors pourquoi pas « l’alphaomeg », pour bien expliquer où ça commence ? Et où ça finit !
Ce serait quand même bien plus clair, non ?….
Imagine une journée de travail qui s’achèverait dès la deuxième heure de boulot ?
Super cool ! Mais pas évident pour gérer les heures supp’…
C’est sans doute le côté « marginal» des grecs… En même temps des mecs qui portent des jupes plissées, dont les philosophes parlent avec des cailloux dans la bouche et garnissent leurs jardins de statues de gens à poil…
Par ailleurs, personne n’a jamais songé à remettre en question le théorème de Pythagore, la poussée d’Archimède ou le carré de l’hypoténuse !
Alors lâchez-moi un peu la géométrie euclidienne et revenons au début du commencement de la genèse du point de départ : l’alpha !
La première lettre, donc la première écriture, donc la première fois qu’une histoire laisse une trace (« thrace » en grec ?) : papyrus, parchemin, codex, livre, on s’en fout, une trace ! Qui peut se passer de l’un à l’autre, de main en main, de regard en regard….
Et cette trace unique, mais ainsi multiplement partagée, en devient donc universelle !!!!
Ce qui nous plonge dans une perplexité dont seule la Fosse des Mariannes frise l’insondable profondeur….
Ah ah, c’est quand même plus balèze que les nombres premiers, crotte !

Attendez, ce n’est que le début, accrochez-vous…

Apparemment l’oméga n’existe plus… Ce qui était pendant longtemps « fini » (une histoire, un livre, une œuvre…) est aujourd’hui « infini » par la nature de ce qui le matérialise : les milliers de millions de milliards de giga-octets en croissance frénétique, pourvoyeurs de connexions à qui mieux mieux et de stockage de données à perte de vue, sont quasiment devenus les seuls et uniques réceptacles de notre pensée.
Mouvants, évolutifs, interactifs, ils nous font croire à leur réalité alors que leur essence n’est que virtualité…. Allons-nous vers un monde qui se réduira à un enchevêtrement de pixels et d’instructions binaires arrivées à destination avant même d’en être parties ? Sommes-nous inexorablement appelés à ne plus devenir qui nous sommes mais seulement la représentation que ces systèmes donneront de nous ???
Ce que j’écris là existera-t-il, de façon archaïque mais palpable, un jour ????

Peut-être oui. Grâce au bêta. À la version bêta de Blookup, plutôt.
Blookup (du grec blokos et du bas-celtique « ooops » qui veulent respectivement dire « bloc de granit sur lequel on peut graver un histoire » (un livre en quelque sorte) et « merde, j’ai appuyé sur delete et j’ai pas sauvegardé ! » (j’aurai pas dû acheter un PC en français moderne) c’est, en quelque sorte le choix d’un autre futur
Qui permet de voir un paysage différent tout en restant sur le même chemin.
Qui offre la possibilité d’avoir un pied dans ce nouvel infini mais aussi de poser son regard sur un monde fini. Sur quelque chose d’achevé.
Comme un livre.
Qu’on choisit. Qu’on veut. Qu’on décide (presque).
Franchement, c’est loin d’être idiot, cette version bêta…
En retournant les perspectives, Blookup nous rend plus vivants. Plus réels.
Aujourd’hui,  nous sommes, nous aussi, encore à la version bêta.

Et Blookup est le nouvel oméga…

Blookup : nouvel Omega ?

Retrouvez le Blook de Prozrestante sur Blookup.

Créer le livre de son blog gratuitement

Suite à l’ouverture en bêta ouverte de Blookup cette semaine. Nous avons décidé de publier un didacticiel pratique afin de mieux vous accompagner dans les différentes étapes de création de votre Blook.

1 – Créer un Blook : l’import de votre blog

Commençons par l’import de la matière : votre blog. Après vous être authentifié avec vos identifiants et cliquer sur Créer un Blook (1) l’import du blog est l’une des premières étapes importantes. Aujourd’hui je fais le test avec mon blog perso : fieretbasque.wordpress.com, blog sur cette belle région du Sud-Ouest qu’est le Pays Basque.

Actuellement Blookup gère les plateformes wordpress* et blogger… Pour les autres, un peu de patience : ça ne saurait tarder.

Après avoir authentifier le type de blog (2) et avoir autorisé la connexion avec ma plateforme, mon blog s’importe automatiquement.

(1) Créer votre Blook – (2) Authentification de votre blog

2 – Le contenu de mon Blook

Passons aux choses sérieuses, maintenant j’ai le choix pour la composition et le contenu de mon Blook. Par exemple les catégories de mon blog que je veux voir apparaitre (3). Pour ma part je n’en ai sélectionnées que 3 sur 4 mais je peux faire plus, ou moins, c’est au choix.

Je vous livre une petite astuce bien pratique : Si je veux un Blook avec uniquement mes meilleurs billets. Je vais sur mon blog et je me crée une catégorie «Meilleurs Billets» dans lesquels j’intègre ces derniers. Ensuite sur Blookup je n’aurai plus qu’à sélectionner cette catégorie pour avoir uniquement la crème de la crème de mon Blog.

D’autres choix me sont proposés, l’ordre chronologique ou inversement des billets, saut à la page après chaque billet, le nom de l’auteur, la présence des liens hypertextes à la fin de chaque billet. L’idée est  de vous proposer la retranscription la plus fidèle du contenu de votre blog.

On peut également classer les catégories dans l’ordre que l’on souhaite. Personnellement, j’opte pour qu’elles soient classés de la même façon que dans mon blog. Finalement avoir ce qu’on veut dans l’ordre qu’on veut, c’est le mot d’ordre chez Blookup.

3 – La couverture

Ah voila l’étape primordiale pour tous blogueurs! La création de votre couverture ou grand nombre de champ vous sont proposés (4).

Pour la page de couverture :

Votre titre de Blook / Un sous titre /Le nom de l’auteur /Une photo de couverture

NB : Pour la photo de couverture, vous pouvez insérer des PNG, le rendu graphique est vraiment sympa (pour les logos notamment).

Pour la der’ de couverture :

Une photo de l’auteur / Une bio de l’auteur / Un résumé du livre de blog

(3) Organisation de vos catégories – (4) Personnalisation de la couverture

4 – La publication 

La dernière étape consiste à la publication du Blook. Voir toutes les informations (Prix, nombre de pages, nombre de billets), choisir si on partage son Blook sur le Blookshop et choisir les mots clés.

Autant de champ qui permettent de bien référencer son Blook et d’augmenter les chances de ventes auprès des utilisateurs Blookup.

La carte d’identitié de votre Blook : sa fiche

Et voilà le tour est joué! Votre Blook est publié. Vous pouvez dorénavant :

– Partager la bonne nouvelle à vos amis sur les réseaux sociaux pour qu’il puisse voir le fruit de votre travail. Vous pouvez également intégrer le Widget «Découvrez le livre du blog» dans votre blog pour faire la promotion de votre Blook.

– Passer une commande de votre Blook.

Dernière étape : vous pouvez commander votre Blook

Créer son Blook c’est simple, gratuit et c’est le moyen de donner vie à son blog.

Enjoy et bonne expérience à tous !

* WordPress auto hébergé est différent de wordpress.com. Dans sa version wordpress.com, on ne peut avoir accès au FTP donc impossible d’installer sur le blog un quelconque design ou encore des plugins. Un WordPress auto hébergé est constitué de fichiers d’installation du CMS WordPress et d’un hébergeur quelconque page free, 1and1, OVH ou autre.

Nouveau phénomène vu aux Etats-Unis : Writer’s Bloq ou la création d’une communauté littéraire Online

Coup d’oeil sur nos voisins New-Yorkais où une nouvelle plateforme Online vient de voir le jour : Writer’s Bloq. Il s’agit d’un site pour les écrivains en herbe désireux de se rencontrer, de partager leur travail et leur inspiration. Depuis son lancement en Février, le site compte aujourd’hui 500 membres venus de toutes les écoles de New York.

Un concept né des difficultés des auteurs à entrer dans une maison d’édition

la fondatrice du projet, Nayia Moysidis, après des années de travail sur son roman achevé à la fin de son Master en création littéraire à l’université de Colombia, était si intimement liée avec son roman qu’elle était réticente à l’envoyer à des éditeurs. Sur l’insistance d’un professeur, elle saute le pas. Résultat : sur près de 100 maisons d’édition, elle n’obtient que quatre réponses. «Je peux vivre avec le rejet. Ce que je ne peux pas supporter, c’est d’être ignorée”. reconnaît Nayia. “Quiconque espère un jour écrire professionnellement connaît l’agonie d’une réponse en attente d’un éditeur, surtout quand il a passé tout son manuscrit au peigne fin avant de l’envoyer”. Pourquoi est-il si difficile de percer dans le monde de l’édition?

Au cours de son expérience chez un éditeur, elle est découragée de voir qu’un grand nombre de manuscrits est négligé parce que les maisons d’éditions n’ont simplement pas le temps ni la main d’oeuvre nécessaire pour les lire.

Dès l’été 2011 elle développe donc Writer’s Bloq, au départ pour créer un espace de dialogue où les étudiants écrivains peuvent se rencontrer entre université et construire leurs écrits.

Alors comment ça fonctionne ?

Les contributeurs de Writer Bloq  doivent être approuvés par Nayia et le conseil. Pas de style d’écriture ou un genre particulier n’est exigé, mais tous les écrivains doivent être affiliés, soit avec un diplôme de premier cycle ou un programme d’études supérieures en écriture créative ou littérature. Il s’agit ainsi d’assurer la qualité et la confidentialité de chaque contributeur. Le but est de créer une communauté où les gens se sentent en sécurité et de renforcer la légitimité de chaque écrivain sur le site.

L’affichage de l’écrit sur le site peut également prévenir la fraude au droit d’auteur. Si quelqu’un essaye de voler ou plagier le travail d’un contributeur, il / elle a la preuve de l’avoir transféré à une certaine date. Professionnels littéraires n’ont pas accès au site, mais à l’avenir Nayia espère trouver des façons de combler l’écart entre les écrivains et les éditeurs.

Les écrivains créent un profil, peuvent télécharger une photo, des textes et garder une trace des observations faites sur leur travail ainsi que des commentaires qu’ils ont faits sur les soumissions des autres écrivains. Un écrivain peut devenir fan d’un autre…

A l’avenir, le site va tendre vers plus d’interaction entre les écrivains à la fois sur et en dehors du web. Un calendrier des lectures littéraires et des événements à New York est régulièrement mis à jour et le 3 mai prochain les membres de Writer Bloq tiendront leur première manifestation. Les écrivains les mieux notés sur le Bloq seront lus dans la célèbre Rare Book Room et auront la possibilité de se mêler aux collègues écrivains ainsi qu’aux professionnels littéraires.

Bonne chance à Writer Bloq !


Source : untapped city NewYork

http://newyork.untappedcities.com/2012/04/16/writers-bloq-creating-an-online-literary-community/

Le site Writer’s Bloq

 

La personnalisation du profil permet à l’auteur une certaine originalité