Trucs de geekette – juillet 12 – Blookup – Du blog au livre avec le blook

Du blog au livre avec le blook

Être bloggeuse, c’est un peu être journaliste ou écrivain.

Sauf qu’il est plus facile de blogger que de publier un livre. Quoique… on peut maintenant imprimer et publier son propre blog sur un vrai livre, qu’on peut feuilleter et mettre dans une bibliothèque! (…)

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Interview : L’Odieux Connard, « Qu’il est bon d’être mauvais »

Ca faisait un petit bout de temps que nous voulions poser quelques questions à l’un de nos blogueurs favoris : l’Odieux Connard. Chose faite il y a peu, nous profitons du récent anniversaire de son blog (le 26 juin dernier, soit hier, l’OC fêtait ses 3 ans) pour publier l’ITW. 
 
Pour suivre l’Odieux Connard et ses déboires c’est sur son blog.
 

  • Bonjour l’Odieux Connard. D’abord pourquoi ce pseudo assez « bourru » ? Un quelconque lien de parenté avec Super Connard ?

Aucun, du moins, pas que je sache.
Non, c’est un pseudonyme qui résume assez bien l’esprit du blog, et qui, ma foi, ne doit pas encore suffire, puisque j’ai toujours le droit à une poignée de malandrins qui vient se plaindre du fait que je critique tout. Comme quoi, même en l’écrivant en gros, en gras, en titre et en bannière, il semble que ça reste trop obscur pour certains.

  • Qui se cache derrière le blog d’un Odieux Connard? (Profession, sexe, hobbies, etc…)

Guère caché mais au clavier, il y a un type de 27 ans (actuellement du moins) et pas mal de cheveux blancs, chef d’entreprise d’une société éditant des solutions pour le secteur du tourisme et de la culture. Et puisque c’est assez prenant, on retiendra deux loisirs pour lesquels j’essaie d’avoir du temps et qui n’étonneront personne : aller au cinéma voir des films d’une qualité généralement contestable, et écrire quelque peu dans mon petit coin d’internet. J’ai heureusement d’autres activités, mais préservons un peu de mystère que diable !

  •  Qu’est-ce qui t’as incité à créer ton blog ?

Fut un temps où l’on me poussait à le faire, et où je traînais un peu les pieds, gardant mes humbles âneries pour d’autres lieux. Et puis finalement, sur un coup de tête, j’ai décidé de créer un blog, comme ça, pour voir. En conséquence de quoi, non seulement j’ai vu, mais je ne suis pas reparti.

  •  Que t’apportent tes lecteurs? C’est important pour toi d’avoir du monde qui te lit ?

Mes lecteurs m’apportent pas mal de bonnes surprises. J’ai la chance d’avoir un lectorat qui écrit plus que correctement, discute, débat… bref, je lis les commentaires avec plaisir, qu’ils soient le fruit d’habitués ou de passants, et il y en a de vraiment très drôles et/ou pertinents. Et si je ne réponds plus que peu dans cette zone mystérieuse en-dessous de mes articles, je continue de pas mal discuter avec des lecteurs par mail.
Avoir du monde qui lit… ce n’est pas une fin en soi : mais il faut bien avouer que ça fait plaisir, comme en tout. Après, il ne faut pas que ça devienne le but du blog, sinon, ce n’est plus un loisir, et ça dénature un peu tout.

  •  Un événement ou une actu qui t’as marqué ces 6 derniers mois ? 

Oui : comme en chaque début d’année, on a été gâtés en films de Nicolas Cage. Vivement l’année prochaine !

  • Qui est-ce que/Qu’est ce que tu aimes lire sur l’internet ?

Je suis très hypocrite : je lis peu sur internet ; si je choppais ces types qui trouvent malin d’écrire des pavés entiers sur leurs blogs… non, vraiment ; je suis pas mal de blogs BD par contre, et du côté des choses écrites, je fais par exemple partie des lecteurs de Maître Eolas, mais en général, je vais de-ci de-là en fonction des liens que je trouve… bref, je suis un internaute. Mais un peu ringard : je n’utilise quasiment pas Twitter, les fils RSS et n’aime rien ni personne sous Facebook.

Mais pour ce dernier point, c’est surtout parce que je n’aime rien ni personne de manière générale.

  • Et l’écriture en dehors du Web, ça t’évoque quoi ? Ça c’est déjà passé ou éventuellement ça fait parti de tes plans ?

Il n’y a pas eu d’écriture au sens classique du terme : j’ai eu l’occasion de publier des choses, mais sous forme de scénarios de bande-dessinée : je me suis ainsi retrouvé dans Fluide Glacial sous le charmant pseudonyme de « D’Ossay » (une bonne partie de mes lecteurs utilisant « OC » pour me qualifier, cela fait finalement un bon pseudonyme pour rôder au-dehors de mon coin du net, avec une petite particule noble devant pour bien conserver mon côté pédant) avec Laurel aux pinceaux. J’ai d’autres projets, y compris sous forme d’écrits plus « traditionnels », mais dans l’immédiat, rien de suffisamment concrétisé pour que nous en parlions ici.

  • Ne penses tu pas qu’avec la bannière “Sam” de ton blog à la place de toutes les futures campagne de préventions il y aurait bien moins de mort(e)s à déplorer sur les routes ?

Bien sûr que si ; mais allez savoir pourquoi, l’Etat Français semble réticent à l’humour noir.

  • Est ce que tu es un odieux connard IRL aussi ?

Mon pseudonyme ne vient pas de nulle part, je le crains : plus qu’un nom que j’ai pris, c’en est un qui m’a été donné. Je vous laisse supposer qu’il y a d’excellentes raisons à cela.

 

 

Un air d’Anonymous ? Nous on voit pas

 

Blookup souhaite un joyeux anniversaire au blog de l’OC et lui souhaite (oui car même si c’est un connard on peut quand même lui souhaiter de bonnes choses) d’en fêter encore de nombreux, et ce pour notre plus grand plaisir.

Thebiznet – juin 12 – Blookup – La solution pour imprimer votre blog

Blookup – La solution pour imprimer votre blog

J’ai hésité à rédiger cet article sur mon autre blog bouquins-de-com étant donné que le sujet colle parfaitement aux lignes éditoriales des deux blogs : un service innovant et l’univers des livres…

Lire la suite de l’article sur Thebiznet

Tourner la page ? Attends mais t’es complètement has-been !

Voilà ce qu’on pourrait bientôt entendre dans la bouche des plus jeunes, la génération «digital native» née un clavier greffé main gauche et un smartphone main droite.
Si 98% des jeunes français préfèrent lire sur papier plutôt que sur écran, la question est de savoir si le papier aura toujours autant d’adeptes lorsque ces “digital natives” atteindront l’âge d’être bibliophiles ?
Peut-être même que pour cette nouvelle génération, l’expression «tourner la page » sera transformée en «rafraîchir la page», plus adéquate à ce qui définit la page  digitale actuelle.
Être à la page ; Tourner en boucle ; Le disque est rayé : ces expressions auront-elles seulement encore un sens demain ? Ou seront-elles devenues insolites depuis la disparition progressive de leur support ? Le mp3 ayant pris une place importante dans la consommation musicale actuelle, c’est logiquement que le marché du Compact Disc tend à disparaitre. Phénomène déjà rencontré il y a plus d’une vingtaine d’année avec l’extinction du vinyl au profit du dit-CD.

Pour le livre et l’apparition de son double maléfique : le livre numérique, il s’agit d’un fondement similaire. Véritable polémique, la dématérialisation du livre provoque aujourd’hui les mêmes débats qui ont émaillé le passage à la photographie numérique et à la musique dématérialisée. Livre papier Vs livre numérique il n’en restera qu’un, lequel ?
Et pourquoi pas les deux si l’on tient compte de données économiques et sociologique ?

Le livre papier, pièce de musée ou édition collector ? 

Dans les années à venir, va-t-on observer un devenir «collector» du livre papier face au développement de son antagoniste numérique ? C’est aussi la différence : la matière. Entre papier et support digital, la matière entraine cet écart net de qualité, le papier devient un objet de luxe face à un support dématérialisé.
De fait, hypothétiquement, il n’est pas impossible que le livre numérique vienne à remplacer le livre de poche.

Le futur du livre, le Print-On Demand ?

Un rapport complet vient d’être rendu en mai par l’Association of College and Research libraries sur « les scénarios pour le futur du livre ».
Il explore 4 alternatives auxquelles peuvent être confrontées le livre. Depuis la presque disparition  du livre papier au profit du numérique ou réciproquement, l’échec de l’ebook à cause d’une technologie trop chère et qui ne convainc pas les lecteurs, certaines données sont cependant communes à l’ensemble des scénarios :

  1. La technologie des livres imprimés ne s’éteint pas mais occupe une position, une fonction différente (rappelons-nous que même si l’électricité produit la lumière, les bougies ont conservé un statut important dans notre société…)
  2. Les lecteurs de livres sont moins nombreux
  3. Un nouveau phénomène prend de l’ampleur : le Print-On Demand (l’impression à la demande).

En 2020, la création et la publication de livres sera moins chère et plus facile. On ne trouvera plus seulement des grands noms d’auteurs : beaucoup de gens inconnus auto-publieront leurs propres livres papier pour partager leurs écrits avec des amis ou pour garder une trace des choses, des faits. Dans ces conditions l’ISBN ne sera plus une composante essentielle du livre et il existera de plus en plus de titres de livres de fiction, de nouvelles, de poèmes, de théories.

Les auteurs continueront de trouver que le livre papier est pris davantage au sérieux que son homologue numérique et les livres papier deviendront les nouvelles cartes de visite professionnelles. Laisse-moi ton livre, je te dirais ce que tu vaux.

Le monde pourrait donc continuer d’être envahi par le livre papier et ce ironiquement rendu possible par les technologies numériques.

La librairie du futur ? Une expérience entre digital et interactions physiques

Le blogueur Vincent Demulière, Consultant Librairie sur son blog «La librairie est morte, vive la… ? évoque la possibilité d’installer des bornes tactiles connectées en magasin qui permettraient d’offrir une expérience interactive au client, de commander sur internet AVEC le client et de faire interagir les libraires et les clients grâce aux médias sociaux et ce, en magasin et on line.

Les librairies du futur ressembleront-elles à ce schéma ?

Schéma de la future librairie connectée

Pour rivaliser avec l’achat en ligne ou compléter celui-ci, les espaces de ventes de demain doivent apporter une véritable « expérience » au visiteur, plus qu’un simple acte marchand : combiner loisir, conseils, divertissement ou apprentissage. Pourtant les librairies actuelles fournissent déjà une expérience inédite : se balader dans les allées ou les rangées et colonnes de livres s’empilent, sentir et toucher les livres neufs n’est-il pas déjà l’expérience ultime pour tout amateur de livres qui se respecte ? De plus les conseils et le suivi des libraires passionnés sont déjà très appréciables. Mais n’oublions pas qu’une librairie n’est pas une bibliothèque mais bien un commerce avec une logique de rentabilité. Aujourd’hui les prix au mètre carré dans les grandes villes sont tellement élevés que le stockage des produits est un vrai problème. Les  librairies, comme les autres espaces de vente, sont touchés par la crise immobilière. Les sites comme Sarenza (pour ne citer que l’activité de la chaussure qui nécessite une large gamme de produits combinée à de nombreuses tailles et ce, dans des boites volumineuses) et autres sites de vente en ligne l’ont bien compris. Pas de boutiques matérielles, une vitrine digitale et un stock important dans des entrepôts délocalisés. Voilà le secret de la future librairie ?

On peut même imaginer que la librairie de demain n’aura qu’un seul livre en stock, celui qu’il expose. Le client passe commande et le reçoit 2 jours plus tard à son domicile. La personnalisation des livres pourrait alors jouer un rôle important.

Contenu Vs contenant ? Faux débat

Alors à la question que va devenir le livre papier ? La conclusion viendra d’un autre blogueur aux propos très pertinents, Anthony Nelzin dans son blog métro [zen] dodo, qui prétend que « La logique d’évolution du livre papier vers le numérique est valide. Le livre numérique est le successeur du livre de poche comme meilleur vecteur de transmission synchronique. Reste à répondre à l’impératif de transmission diachronique, d’héritage du contenu : peut-être faut-il garder un objet-livre à des fins d’archivage (le luxe favorisant la conservation), comme on a conservé la photographie argentique et la musique sur support matériel. Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, le livre numérique est le livre.».

Il est donc possible que d’ici peu, il faille «tourner la page» d’une habitude de consommation mais pas du support en tant que tel.

La nouvelle génération tournera t-elle littéralement la page ?


L’ALPHA ET L’OMEGA

Il y a l’alpha. C’est le début. Et l’oméga. C’est la fin.
C’est pour expliquer aux non-hellenistes.
Ceux qui ne comprennent pas le grec. Ne le parlent pas non plus.
Mais ce n’est pas grave. La Grèce aujourd’hui c’est plutôt grève…
Donc l’alpha. Vous me direz : ça fait penser à alphabet… Oui, bon, on ne va pas commencer à compliquer, ça l’est suffisamment comme ça ! Et puis ne venez pas me flinguer mes effets !!!
Donc, exact, « alphabet » vient d’alpha et de bêta, les 2 premières lettres de l’alphabet grec (sic !)… Mais alors pourquoi pas « l’alphaomeg », pour bien expliquer où ça commence ? Et où ça finit !
Ce serait quand même bien plus clair, non ?….
Imagine une journée de travail qui s’achèverait dès la deuxième heure de boulot ?
Super cool ! Mais pas évident pour gérer les heures supp’…
C’est sans doute le côté « marginal» des grecs… En même temps des mecs qui portent des jupes plissées, dont les philosophes parlent avec des cailloux dans la bouche et garnissent leurs jardins de statues de gens à poil…
Par ailleurs, personne n’a jamais songé à remettre en question le théorème de Pythagore, la poussée d’Archimède ou le carré de l’hypoténuse !
Alors lâchez-moi un peu la géométrie euclidienne et revenons au début du commencement de la genèse du point de départ : l’alpha !
La première lettre, donc la première écriture, donc la première fois qu’une histoire laisse une trace (« thrace » en grec ?) : papyrus, parchemin, codex, livre, on s’en fout, une trace ! Qui peut se passer de l’un à l’autre, de main en main, de regard en regard….
Et cette trace unique, mais ainsi multiplement partagée, en devient donc universelle !!!!
Ce qui nous plonge dans une perplexité dont seule la Fosse des Mariannes frise l’insondable profondeur….
Ah ah, c’est quand même plus balèze que les nombres premiers, crotte !

Attendez, ce n’est que le début, accrochez-vous…

Apparemment l’oméga n’existe plus… Ce qui était pendant longtemps « fini » (une histoire, un livre, une œuvre…) est aujourd’hui « infini » par la nature de ce qui le matérialise : les milliers de millions de milliards de giga-octets en croissance frénétique, pourvoyeurs de connexions à qui mieux mieux et de stockage de données à perte de vue, sont quasiment devenus les seuls et uniques réceptacles de notre pensée.
Mouvants, évolutifs, interactifs, ils nous font croire à leur réalité alors que leur essence n’est que virtualité…. Allons-nous vers un monde qui se réduira à un enchevêtrement de pixels et d’instructions binaires arrivées à destination avant même d’en être parties ? Sommes-nous inexorablement appelés à ne plus devenir qui nous sommes mais seulement la représentation que ces systèmes donneront de nous ???
Ce que j’écris là existera-t-il, de façon archaïque mais palpable, un jour ????

Peut-être oui. Grâce au bêta. À la version bêta de Blookup, plutôt.
Blookup (du grec blokos et du bas-celtique « ooops » qui veulent respectivement dire « bloc de granit sur lequel on peut graver un histoire » (un livre en quelque sorte) et « merde, j’ai appuyé sur delete et j’ai pas sauvegardé ! » (j’aurai pas dû acheter un PC en français moderne) c’est, en quelque sorte le choix d’un autre futur
Qui permet de voir un paysage différent tout en restant sur le même chemin.
Qui offre la possibilité d’avoir un pied dans ce nouvel infini mais aussi de poser son regard sur un monde fini. Sur quelque chose d’achevé.
Comme un livre.
Qu’on choisit. Qu’on veut. Qu’on décide (presque).
Franchement, c’est loin d’être idiot, cette version bêta…
En retournant les perspectives, Blookup nous rend plus vivants. Plus réels.
Aujourd’hui,  nous sommes, nous aussi, encore à la version bêta.

Et Blookup est le nouvel oméga…

Blookup : nouvel Omega ?

Retrouvez le Blook de Prozrestante sur Blookup.

Créer le livre de son blog gratuitement

Suite à l’ouverture en bêta ouverte de Blookup cette semaine. Nous avons décidé de publier un didacticiel pratique afin de mieux vous accompagner dans les différentes étapes de création de votre Blook.

1 – Créer un Blook : l’import de votre blog

Commençons par l’import de la matière : votre blog. Après vous être authentifié avec vos identifiants et cliquer sur Créer un Blook (1) l’import du blog est l’une des premières étapes importantes. Aujourd’hui je fais le test avec mon blog perso : fieretbasque.wordpress.com, blog sur cette belle région du Sud-Ouest qu’est le Pays Basque.

Actuellement Blookup gère les plateformes wordpress* et blogger… Pour les autres, un peu de patience : ça ne saurait tarder.

Après avoir authentifier le type de blog (2) et avoir autorisé la connexion avec ma plateforme, mon blog s’importe automatiquement.

(1) Créer votre Blook – (2) Authentification de votre blog

2 – Le contenu de mon Blook

Passons aux choses sérieuses, maintenant j’ai le choix pour la composition et le contenu de mon Blook. Par exemple les catégories de mon blog que je veux voir apparaitre (3). Pour ma part je n’en ai sélectionnées que 3 sur 4 mais je peux faire plus, ou moins, c’est au choix.

Je vous livre une petite astuce bien pratique : Si je veux un Blook avec uniquement mes meilleurs billets. Je vais sur mon blog et je me crée une catégorie «Meilleurs Billets» dans lesquels j’intègre ces derniers. Ensuite sur Blookup je n’aurai plus qu’à sélectionner cette catégorie pour avoir uniquement la crème de la crème de mon Blog.

D’autres choix me sont proposés, l’ordre chronologique ou inversement des billets, saut à la page après chaque billet, le nom de l’auteur, la présence des liens hypertextes à la fin de chaque billet. L’idée est  de vous proposer la retranscription la plus fidèle du contenu de votre blog.

On peut également classer les catégories dans l’ordre que l’on souhaite. Personnellement, j’opte pour qu’elles soient classés de la même façon que dans mon blog. Finalement avoir ce qu’on veut dans l’ordre qu’on veut, c’est le mot d’ordre chez Blookup.

3 – La couverture

Ah voila l’étape primordiale pour tous blogueurs! La création de votre couverture ou grand nombre de champ vous sont proposés (4).

Pour la page de couverture :

Votre titre de Blook / Un sous titre /Le nom de l’auteur /Une photo de couverture

NB : Pour la photo de couverture, vous pouvez insérer des PNG, le rendu graphique est vraiment sympa (pour les logos notamment).

Pour la der’ de couverture :

Une photo de l’auteur / Une bio de l’auteur / Un résumé du livre de blog

(3) Organisation de vos catégories – (4) Personnalisation de la couverture

4 – La publication 

La dernière étape consiste à la publication du Blook. Voir toutes les informations (Prix, nombre de pages, nombre de billets), choisir si on partage son Blook sur le Blookshop et choisir les mots clés.

Autant de champ qui permettent de bien référencer son Blook et d’augmenter les chances de ventes auprès des utilisateurs Blookup.

La carte d’identitié de votre Blook : sa fiche

Et voilà le tour est joué! Votre Blook est publié. Vous pouvez dorénavant :

– Partager la bonne nouvelle à vos amis sur les réseaux sociaux pour qu’il puisse voir le fruit de votre travail. Vous pouvez également intégrer le Widget «Découvrez le livre du blog» dans votre blog pour faire la promotion de votre Blook.

– Passer une commande de votre Blook.

Dernière étape : vous pouvez commander votre Blook

Créer son Blook c’est simple, gratuit et c’est le moyen de donner vie à son blog.

Enjoy et bonne expérience à tous !

* WordPress auto hébergé est différent de wordpress.com. Dans sa version wordpress.com, on ne peut avoir accès au FTP donc impossible d’installer sur le blog un quelconque design ou encore des plugins. Un WordPress auto hébergé est constitué de fichiers d’installation du CMS WordPress et d’un hébergeur quelconque page free, 1and1, OVH ou autre.

Naissance d’un livre / BIRTH OF A BOOK

https://vimeo.com/38681202

Glen Milner, jeune réalisateur Londonien, a réalisé pour le célèbre quotidien britannique Daily Telegraph un court métrage sur la naissance d’un livre. Filmant l’imprimerie de Smith-Settle à Leeds, la vidéo retranscrit la magie de la réalisation d’un livre.
De la composition des textes au façonnage (reliure, pliure, brochure…), on redécouvre la technique traditionnelle d’impression d’un livre.
C’est un magnifique aperçu de cette « chaîne graphique » que nous livre le cinéaste, un coup de coeur Blookup que nous ne résistons pas à vous faire partager.

Pourquoi le livre numérique est-il plus cher que le livre imprimé ?

La question reste en suspens. Il semblerait que le business model du livre numérique ne soit pas encore bien établit.

Il représente 1% des ventes en France. Certes c’est peu, mais suffisant pour provoquer l’indignation des lecteurs.

Une blogueuse s’est amusée à faire une étude comparative. Dans tous les cas, le livre numérique est plus cher que le poche !

C’est un vrai problème quand on sait, et nous sommes bien placé pour le savoir dans l’édition de livres de blogs, qu’un des coûts principaux c’est la papier (60% du prix en autoédition, même si certes la technique d’impression est différente).

Ce qui est intéressant c’est de se pencher sur les commentaires, polémiques et revendications des internautes, sur le blog d’Iluze par exemple, sur le sujet.

Entre l’écologie, la rémunération des auteurs, le piratage, le boycott des éditeurs français…. Chacun y va de ses arguments. Le débat numérique vs papier s’étend à l’infini. Mais le débat existe-t-il vraiment ? Chacun devrait avoir le choix de lire sur le support de son choix, le tout n’étant qu’un contenant de contenu.

Les éditeurs et les libraires ne devraient-ils pas davantage anticiper et se repositionner par rapport à cette avancée du numérique dans leur monde, plutôt que de faire comprendre de façon explicite qu’ils ne sont pas encore prêts pour le numérique ?

Sources :
Actualitte.com
Le Blog d’Iluze